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Paperback writer
2 novembre 2011

Crazy, stupid, love

Non n’ayez crainte, je ne suis ni amoureux, ni dégoûté de l’amour. C’est plutôt la Minute Allocine du soir.

La semaine dernière j’ai donc vu  Crazy, Stupid Love (noté 3,6 / 5 par les spectateurs sur Allocine) 

En vérité, seule la première heure m’a intéressé. Le pitch : Steve Carrell, quadragénaire qui porte des baskets avec son costume (si si) apprend qu’il divorce de sa femme, Julianne Moore (en mode MILF très attrayante). Il part noyer son chagrin dans un bar branché (bizarre, dans les films français, les gars vont se torcher au PMU du coin). Et là il est remarqué par Ryan Gosling, le pickup artist du bar.

S’en suit une scène de relooking digne de Pretty Woman, puis un cours de drague dans ce même bar où Steve Carrell finit par « lever une meuf » pour être poli.

Je m’en tiendrai là dans le spoil du film, de toute façon la suite n’a quasiment aucun intérêt. A mon sens le film retombe dans la banalité.

Mais cela vaut la soirée popcorn :

-          déjà Ryan Gosling est troooop beau, un corps de rêve et trop stylé (c’était la parenthèse homosexuelle / kikoolol de ce papier)

RG

© Warner Bros. France

-          on y retrouve les ingrédients de la remise en question : arrêter de se plaindre et avec un peu d’aide, en ajustant son style, sa garde robe et ses techniques d’approche, on peut s’en sortir. Si vous avez suivi, c’est un peu ma démarche actuelle, si ce n’est que je me plains encore beaucoup

En conclusion, j’ai vu ce film au moment opportun, et pour tous ceux qui seraient dans ma situation, allez y !

Il est encore projeté à l’UGC Ciné cité de Bercy

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